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Les instruments utilisés dans votre Studio :


Certains instruments sont de tailles différentes adaptés pour les enfants et même les baby.


  Berimbau :

  Adaptation de l’arc musical, premier cordophone inventé par l’homme, le berimbau est devenu, au XXe siècle, l’instrument emblématique de la capoeira brésilienne. Ce mot d’origine portugaise     désigne à la fois l’endroit où étaient parqués les esclaves et l’art martial dansé qui puise ses racines dans les simulacres de combats (individuels ou collectifs) organisés au Brésil parmi les     populations noires déportées au Brésil. 

 Le berimbau se compose d’une corde en métal (arame ou cuerda) tendue aux deux extrémités d’un bâton courbé (Vergua ou Faresur lequel est attaché un résonateur en calebasse (cabaça). 

- D’une main, l’instrumentiste tient le berimbau et frappe la corde à l’aide d’une baguette (Baqueta ou Vareta).   

- De l’autre main, il fait glisser une pièce métallique (ou un galet) sur ladite corde pour en modifier la longueur de résonance, donc la hauteur du son (ou le timbre).

- Simultanément, il plaque plus ou moins la calebasse contre son ventre pour obtenir un effet wah wah très spectaculaire. 


Pandeiro :  Instrument de percussion, version brésilienne du tambour basque. Le tambour sur cadre hispano-portugais pandeiro ou pandero, sans doute dérivé du tar arabo-andalou, a été apporté au Brésil par les premiers colonisateurs portugais.


Agogô : C'est un instrument originaire d’Afrique. En effet, son nom vient de « akokô », qui désigne le temps, en langue nagô, au Bénin. On le retrouve au Brésil, initialement il servait à marquer le tempo. Aujourd’hui, l’agogô sous sa forme métallique est utilisé dans la plupart des formes musicales percussives latines, comme la samba, le maracatu ou le candomblé.

Dans ces deux dernières formes, il peut se présenter comme une grande cloche fixée au bout d’un manche d’une vingtaine de centimètres.

Il est souvent accompagné d’un sifflet ou d’un kazoo, joués par le même musicien. L’agogô, aussi appelé gongué, est un instrument de musique idiophone, de la famille des percussions. Il est constitué d’une ou plusieurs cloches en bois ou en métal (sans battant), reliées entre elles, et frappées au moyen d’une baguette.


Caxixi :   Un Caxixi est un hochet en panier tressé qui est toujours conçu de manière similaire. Une vannerie faite, par exemple, de junco (roseau) ou de rotin est construite sur une base, généralement constituée d'une partie de la gourde (cabasa).  Les hochets, dans leur forme originale, comptent parmi les premiers instruments de l'humanité. L'une des façons dont le Caxixi d'aujourd'hui s'est développé à partir de cela est la déportation d'esclaves d'Afrique de l'Ouest vers le Brésil. Vraisemblablement, le caxixi aurait été différent aujourd’hui sans un autre instrument afro-brésilien . Nous parlons de Berimbau . Si vous regardez les Caxixis africains, ils sont souvent équipés de tiges individuelles au lieu de poignées. La poignée incurvée est rarement vue. Le Berimbau et le Caxixi existaient déjà sous leur forme originale en Afrique. Cependant, la combinaison, issue du jeu Caxixi intégré au jeu Berimbau, est une invention brésilienne.  
Reco-reco :  Le reco-reco, également appelé caracaxá ou querequexé, est un instrument de percussion brésilien de la famille des idiophones grattés ou raclés, similaire au güiro. C'est un instrument d'accompagnement musical rythmique.

Atabaque :  L'atabaque ou ilu est un instrument de percussion utilisé dans diverses formes musicales du Nordeste du Brésil, notamment le candomblé dans diverses activités comme la samba ou la capoeira. Cet instrument d'origine africaine (voir Batá) ou arabe, est un des premiers instruments qui furent introduits dans le jeu de la capoeira.

Les manuels de chants : 

Des fiches de chants individuelles plastifiées avec :

  • La chanson en Brésilien
  • La traduction en Français